La plage : le coeur des Havrais
Cette impression de plage en centre ville vous séduira lorsque, du bout de l’avenue Foch, vous vous tournerez vers l’Ouest. Au-delà de la majestueuse porte Océane, vous découvrirez un fragment de ce qui constitue la fierté des Havrais… La plage.
Station balnéaire depuis 1999, Le Havre, LH Beach pour les intimes, affiche hautement son identité.
Parce que la plage du Havre n’est pas qu’une simple plage.
Chacun y trouve son plaisir… en été comme en hiver…
Les flâneurs apprécient s’y promener ou s’y installer pour s’évader dans un roman.
Les nageurs les plus téméraires filent le long de la côte.
Les simples baigneurs défient l’eau fraîche pour s’y tremper les pieds, voire davantage.
Les jeunes en skate ou rollers s’approprient le skate parc.
Les joggeurs arpentent la promenade de la plage, de la digue au bout du monde.
Par grand vent, les amateurs de cerf-volants investissent l’étendue de sable, à marée basse. Côtoyant ainsi les surfeurs, véliplanchistes, kite-surfeurs et autres amateurs de glisse et de sensations fortes.
Les longues pistes cyclables accueillent les cyclistes pour une longue balade en bord de mer Les photographes cueillent, un instant, ce paysage déroutant
Les peintres figent d’un coup de pinceau cette oeuvre de la nature, toujours en mouvement
Les adeptes du bronzage ne reculent pas face aux galets, pour en profiter au moindre rayon de soleil.
Les aires de jeux pour enfants séduisent les familles, pour un instant de détente.
Les terrains de volley-ball et de pétanque attirent les Havrais, jeunes ou moins jeunes.
Les bars de bord de mer accueillent les promeneurs, pour un petit café en terrasse, face au soleil, pleine vue mer.
Les nombreux restaurants permettent à chacun d’y trouver son bonheur, selon ses goûts culinaires.
Vous l’aurez compris, la plage du Havre satisfait chacun, pour un moment seulement, quelques heures ou une journée…
Au fil des pages, partez à la rencontre de la plage du Havre, au coeur de la ville, pour un moment d’évasion…
« Le Havre respire la mer par toutes ses artères »
(Philippe Huet)